20 H 30

    S  A  M  E  D  I     7     N O  V  E     M     B       R       E   

PRIX LIBRE

Grande fête d'inauguration de la corde à  sauter géante qui relie maintenant Clermont Ferrand à Brussels. Outre le fait qu'elle représente à elle seule la pire aberration architecturale de la planète elle permet à nombre de nos enfants de ne plus jamais se perdre, et à quantité de slips, de culottes et de combinaisons de ski de sécher. Du coup plus la peine d'abandonner les enfants dans les bois et plus besoin de leur acheter des fringues, à ces ptits voleurs. 



Quatre groupes, un service irréprochable, un concours de tongs et des châtaignes au feu de tongs.
Lundi 26 octobre à 19H pour le passage à l'heure d'hiver.

Afin de préserver le monde de la dévastation. Afin de rallier tous les peuples à notre nation. Afin d'écraser l'Amour et la Vérité. Afin d'étendre notre pouvoir jusqu'à la Voie Lactée. Jean. Claude. Le Tergal Loser Crust Band. Plus rapide que la lumière. Rendez vous toutes et tous, ou ce sera la guerre.
 
 

Ce sera prix libre comme d'hab. Et si t'as pas vu cette superbe affiche en ville,bah tu peux la voir sur internet c'est trop bien fait.

Vive la Baignoire Thaïlandaise

COSY (danse contemporaine) / Jean Luc Guionnet (musique improvisée) Mardi 13 octobre à 20 h 15





STRUCTURE-COUPLE, Cosy- performance, 30’

" Un titre formé sur un mal-entendu ; un mot déformé par notre mauvaise compréhension de l’anglais, prélevé dans le refrain d’une chanson que nous écoutons en boucle et le plus fort possible : "Guillotine" de Death Grips.
Séparés mais proches, l'un en face de l'autre et chacun sur un promontoire, nous nous laissons dériver à travers l'état hypnotique provoqué par la mise en boucle des basses et des phrases scandées. Pourtant, ce « cosy » s'altère dans la répétition, et nos corps éprouvés par la lenteur s'éreintent alors à maintenir la précision des gestes. "

www.lotuseddekhouri.com

http://christof.mace.free.fr/

JEAN-LUC GUIONNET, L'épaisseur de l'air (solo de saxophone)

" Mon travail se divise en autant de parties qu’il m’est offert d’occasions d’agir et de penser par le son. Ces occasions ont toujours à faire avec la rencontre forte d’un dehors : un instrument (saxophone/orgue), une idée théorique (qu’est-ce que la rumeur ?), et surtout un ami collaborateur (André Almuro, Caroline Pouzolles, Éric La Casa, Taku Unami, Lotus Edde Khouri, Seijiro Murayama,, Rhodri Davis … ).

S’en suit alors une suite éclatée de thèmes qui, à leur tour, influencent l’évolution du travail musical, plastique, et orientent les rencontres à venir : l’épaisseur de l’air, l’écoute comme obscure à elle-même, le pidgin, l’instrument de musique considéré comme automate affectif, la géométrie et l’arithmétique de la vision et de l’écoute … leurs différences, le son comme signature de l’espace, signature d’objets, signature de ce qu’il n’est pas, le paysage & le placard … Ou encore le voisinage du temps qui passe et du temps qu’il fait … par le truchement duquel l’œil et l’oreille se retrouvent dans le même dénuement.

La musique devient alors, au travers de son propre protocole artistique, une façon de tester la réalité sentie et pensée. Réciproquement, c’est un test dont l’expérience définit une nouvelle distribution de tout le corps en le plaçant dans un environnement à la fois inconnu et artificiel, tout en le laissant capable de penser, de compter, de faire des relations, d’entendre et de comprendre les lieux, etc.

L’émotion que je cherche est faite de toutes ces strates et de leur glissement les unes sur les autres durant l’écoute : quand la musique donne du temps."

EN SOLO PUIS EN DUO AVEC SYLVAIN MARTY.